VESKO en concert au Pan Piper le 21 octobre pour la sortie de son album “De Bamako…”
Producteur, compositeur et percussionniste ayant fait ses classes au Mali, VESKO vous invite a une performance live galvanisante, où les machines et les hommes se marient avec bonheur pour rendre hommage à l’Afrique. Car le Français biberonne aux sons de Bamako sait associer comme personne samplers, effets, boites à rythmes… et les voix et instruments maliens (balafon, kora, tamani, kamale n’goni…) joués live.
C’est ainsi qu’il convie les jeunes vocalistes les plus talentueux : la star Maïmouna Soumbounou, Cheick Siriman Sissoko, Mary Kone ou encore la franco-malienne Manu Sissoko. Un cocktail détonnant invitant à la transe, où l’on retrouve l’esprit des cérémonies et des bals poussière de la rue bamakoise, en version 2.0.
Sur scène, cette fusion du 3e type prend encore une autre dimension, puisqu’elle est habillée par les videos projetées par VJ Chane qui sculptent, en live, un décor afro-psychédélique
À propos de l’album De Bamako…
Sur son album solo, composé entre Paris et Bamako, il a invité quelques voix magnifiques : celle de Maïmouna Soumbounou – jeune cantatrice malienne aux millions d’abonnés sur les réseaux, biberonnée aux chants d’Oumou Sangaré, devenue après deux ou trois titres la coqueluche du tout Bamako, ou encore de Manu Sissoko, une française à la voix extraordinaire happée par la culture malienne qui elle aussi, ira faire ses classes au pays de Salif Keita et de Bazoumana Sissoko, (écoutez donc sa reprise de Saa Magni)…
Sans oublier celle du griot Cheik Siriman Sissoko, complice avec lequel il a longtemps joué, de Paris à Bamako. C’est bien l’histoire de Vesko, de ses voyages maliens et de ses amitiés musicales, que raconte ce premier album solo, De Bamako…
La chanteuse Manu Sissoko réadapte le texte en bambara pour rendre hommage à son beau-père Siriman Sissoko, fils de Dédé Kouyate, instrumentiste et arrangeur à l’Ensemble instrumental du Mali. Celui-ci l’accompagnait dans son apprentissage de la danse, et dans sa découverte de la culture malienne. Siriman croyait en elle et la poussait à s’assumer en tant qu’artiste, jusqu’à son décès brutal en 2011.
“2019, de passage au studio, Manu me fait part de son désir d’enregistrer sa version de Saa magni, chanson qui traite du caractère inéluctable de la mort, qui n’épargne personne. Généralement peu friand de reprises, je prépare néanmoins un instrumental, afin d’enregistrer les voix témoins. Après un essai, l’idée s’impose, il faut impérativement enregistrer ce titre. Le processus créatif commence, travail sur l’instrumental, basé sur le piano, intimiste, spatial. Quelques mois plus tard, nous enregistrons les voix définitives, dans une rue, à Bamako, sur le pas de porte d’Oumou Dédé Damba, la sœur de Siriman Sissoko.
Durant la composition et le mixage de cette version, Il m’est souventarrivé d’avoir les larmes aux yeux…” confit Vesko.
[Source : communiqué de presse]
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